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2021-02-11
Capital Social

Justine Laurier : « Je veux élever mes clients, et non vendre plus de média. »

Jamais en agence

Justine Laurier ne voulait rien savoir de finir en agence à la fin de son baccalauréat en communication marketing. Elle ne souhaitait pas travailler pour plusieurs clients avec lesquels elle n’aurait aucune affinité :

« C’est comme ça que je me suis retrouvée chez Tourisme Lanaudière. J’adorais ce que je faisais, et j’adorais le secteur d’activité, c’est pourquoi j’y suis restée pendant 4 ans. »

« Avec le temps, le marketing numérique a commencé à prendre une grande place dans ma vie et j’avais envie de me spécialiser dans la gestion de campagnes. Alors, je me suis dit que c’était peut-être le moment de donner une chance aux agences. Mais ça n’allait pas être n’importe laquelle. Je voulais cibler de plus petites agences qui correspondaient à mes valeurs. »

C’est donc chez Republik que Justine va se retrouver et voilà qu’elle y est depuis 2 ans déjà. Pourtant, elle ne souhaitait pas travailler en agence, alors la question se pose: pourquoi Republik?

Problèmes de transparence

Pour répondre à la question, il faut comprendre le portrait un peu plus global de l’industrie du marketing, en média. La vérité, c’est que souvent, entre agences et clients, il y a un grand manque de transparence, chose que Justine trouve absolument aberrante. Elle nous donne deux exemples :

« Historiquement, la rémunération des agences média fonctionne par commissions, et non par honoraires. Les agences vont donc se payer en prenant un pourcentage du média total investi, et parfois même en ayant des marges cachées. La conséquence de cela est que, souvent, les agences vont pousser les clients à dépenser plus, peu importe s’il s’agit d’une bonne recommandation ou non, afin de faire plus d’argent. Et c’est là que se crée un premier problème de transparence. »

« Ensuite, on voit souvent des agences se parler à elles-mêmes en utilisant un vocabulaire très technique avec des “buzzwords” ou en utilisant des tableaux très compliqués dans les rapports de performance de campagne. Le résultat, souvent, est que le client ne comprend pas bien ce qu’on lui explique. Tu as beau avoir fait la meilleure campagne au monde, si le client ne comprend pas, tu ne lui apportes aucune valeur ajoutée. »

Dans les deux exemples, les problèmes de transparence naissent d’une même cause ; l’agence n’est pas là pour accompagner ou éduquer le client, l’agence est là pour vendre plus de média. La conséquence est qu'une dépendance se crée chez le client envers l’agence et son expertise.

Outiller le client

Le désir de Justine chez Republik est de bâtir un département média qui a à cœur l’éducation des équipes internes chez les clients.

« Je veux qu’on soit une agence transparente, qui agit comme accompagnatrice, qui éduque le client, offre des rapports de performance clairs, qui leur permet d’être meilleurs à l’interne. Et ce qui me rend fière, c’est qu’on le fait déjà naturellement! »

« On prend le temps de bien installer les outils chez le client afin qu’il en soit pleinement propriétaire et qu’il puisse en faire ce qu’il veut, au moment où il le désire. S’il veut changer d’agence, il est propriétaire de tout l’historique bâti avec nous. En plus de ça, les “buzzwords” média ça n’existe pas chez Republik. »

Tout le monde à la même table

Ce dont parle Justine, c’est le résultat du processus de Création de Capital Social™ de Republik. Ce processus fait en sorte que tous les gens de tous les départements, autant du côté du client que du côté agence, se retrouvent à la même table afin de travailler ensemble.

Ainsi, le client partage ses connaissances avec l’agence sur son industrie, et l’agence partage ses connaissances avec le client sur son expertise. Cet échange permet à tout le monde de partager les mêmes objectifs.

« Ce que j’aime chez Republik, c’est que l’on considère le client comme l’expert de son secteur d’activité. Nous sommes experts dans notre domaine, mais on se doit de s’éduquer sur l’industrie de notre client, ils sont les mieux placés pour nous parler de leur clientèle et de leurs compétiteurs. Et s’ils ne le savent pas, c’est notre devoir de les aider à gagner cette connaissance-là à l’interne. »

« La vérité, c’est que c’est bénéfique pour tout le monde si le client est capable d’internaliser une partie de notre expertise en marketing. Notre travail est plus efficace et plus rapide comme ça. Bref, je veux élever mes clients, et non leur vendre plus de média. »

#ConvictionsAuTravail

Une agence qui accueille les convictions personnelles de son équipe au travail ça donne quoi? Une agence qui a envie de changer le monde, rien de moins.

Chez Republik, on travaille avec des clients qui comprennent l'importance d'agir sur les enjeux sociaux et environnementaux et qui intègrent les principes de responsabilité sociale dans leurs modèles d'affaires. Nous, on cherche des talents qui ont de fortes convictions et qui ont l'ambition de changer le monde.

Ne marche pas sur tes convictions, mets-les au travail.

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