Skip to contentSkip to navigation
2021-08-24
Capital Social

Marie-Hélène Leclerc : « Je veux bâtir des relations transparentes et sincères. »

Marie-Hélène Leclerc est une jeune femme dans un poste de direction, mais elle n’a pas envie d’entendre la fameuse phrase : « T’es tellement jeune! ». Elle croit fermement que l’âge et le genre ne devraient pas empêcher une personne d’obtenir le poste qu’elle désire. Dans celui qu’elle occupe, par exemple, la capacité d’établir des relations clients durables est ce qui devrait primer.

« J’ai toujours été la plus jeune de mes ami.e.s, de ma famille et de mes collègues. J’ai dû m’habituer à parler plus fort et à prendre ma place. Toute ma vie et tout au long de ma carrière j’ai dû me battre pour me faire entendre. Quotidiennement, je dois prouver que, malgré mon âge, je suis capable de livrer un projet. Je peux le faire aussi bien que quelqu’un avec plus d’années d’expérience derrière la cravate.

Dans l’industrie, il y a souvent du jugement face à l’âge – qu’on soit jeune ou même plus vieux –, à l’expérience ou au genre d’une personne. Chez Republik, je n’ai jamais senti le besoin de me justifier auprès des autres membres de l’équipe de direction. J’ai réussi à graduellement faire mes preuves grâce à la job que je mettais sur la table. »

Pas de sujets tabous

Parmi les efforts déployés par la directrice du service-conseil, les nombreux appels avec des clients où elle leur a donné l’heure juste :

« Il n’y a rien de mieux que d’avoir une relation forte avec son client. On peut créer ce genre de liens en étant honnête avec lui. C’est comme ça qu’on est capable d’avoir ensemble les “conversations difficiles”. En tant que directrice, service-conseil, je dois donner des conseils. Je ne peux pas seulement dire oui à tout. La remise en question est importante des deux côtés. La transparence doit être une priorité. »

L’une des devises de Republik est d’ailleurs de « parler vrai » et lorsqu’on veut créer de l'impact avec nos clients, il est tout à fait essentiel de se dire les affaires telles qu’elles sont.

De petits rêves à gros projets

Marie-Hélène se souvient avoir entendu le cousin de son père parler de son emploi comme représentant commercial dans une grande entreprise de mode. Les tâches y semblaient si passionnantes. Rapidement, elle devient une véritable passionnée de marketing. Au cégep, elle est amenée à réaliser plus d’une dizaine de compétitions sur le sujet. Déjà à l’époque, elle tente d’aborder les cas qui lui sont présentés d’un oeil nouveau :

« J’en mangeais du marketing… C’est vraiment devenu une passion! Notre prof nous donnait des cas et il fallait travailler dessus. La manière dont je les abordais, ce n’était jamais en faisant du marketing pur et dur. Je ne croyais pas en la publicité traditionnelle. Je trouvais ça pourri même. Alors, j’essayais de faire vivre les marques à travers de l’événementiel, un stunt ou de la création de contenu. »

C’est dans cet esprit qu’elle a fait son entrée sur le marché professionnel, puis qu’elle s’est jointe à l’équipe de Republik. Cette dernière avait la même mission qu’elle : briser le moule du marketing traditionnel. En effet, la petite équipe avait de grandes ambitions.

« Quand je suis arrivée à l’agence il y a quatre ans, on était huit employé.e.s et maintenant, on est presque une trentaine. C'est toujours ça qui m’a attirée : travailler pour des gens qui ont de l’ambition et qui ont envie de transformer leur petit rêve en gros projet. »

Marie-Hélène voit grand pour l’agence, mais aussi pour les clients avec lesquels elle collabore. Elle indique qu’il est facile de dépasser les objectifs qu’ils se fixent ensemble quand ils échangent sur une base régulière.

Des connexions humaines

Le poste que Marie-Hélène occupe est le meilleur des deux mondes. Elle peut se plonger dans l’univers du marketing et se questionner sur les meilleurs chemins à prendre avec ses clients. Néanmoins, l’aspect humain prend une place tout aussi importante. C’est là qu’elle puise sa motivation pour aller travailler :

« J’ai toujours trippé sur la gestion, parce que j’aime beaucoup le côté psychologique du marketing. J’aime me poser des questions et analyser les comportements. C’est vraiment le côté humain de ma job. Livrer des projets, oui, c’est stimulant, mais la gestion vient chercher qui je suis à la base. Je peux réellement connecter avec les gens et les comprendre. Quotidiennement, je suis challengée, parce que je suis amenée à résoudre des problématiques. »

Ainsi, Marie-Hélène est convaincue qu’il faut se concentrer sur l’individu d’abord. Il est primordial de s’attarder sur ce qui est important pour ses clients et travailler avec eux pour bâtir une relation d’affaires, mais surtout, une connexion humaine solide.

#ConvictionsAuTravail

Une agence qui accueille les convictions personnelles de son équipe au travail ça donne quoi? Une agence qui a envie de changer le monde, rien de moins.

Chez Republik, on travaille avec des clients qui comprennent l'importance d'agir sur les enjeux sociaux et environnementaux et qui intègrent les principes de responsabilité sociale dans leurs modèles d'affaires. Nous, on cherche des talents qui ont de fortes convictions et qui ont l'ambition de changer le monde.

Ne marche pas sur tes convictions, mets-les au travail.

Consultez nos offres d’emploi