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2020-01-29
Culture

Découvrez les quatre personnes qui se méritent les totems Republik

Assise face au projecteur, toute l’équipe attend avec impatience le coup d’envol du premier gala Republik, animé de main de maître par l’indissociable duo formé de notre responsable de la culture, Martin, et de notre concepteur et photographe, Manny. Le 20 décembre dernier, pour la première fois de son histoire, Republik récompensait 4 membres de son équipe s’étant particulièrement illustrés dans l’une de ses quatre devises. Les dessous.

En octobre dernier, on quittait les bureaux de la rue St-Alexandre en autobus un jeudi après-midi sans savoir où on s’en allait. Vincent et Martin avaient profité de cet Offsite Republik inspiré de nos devises d’entreprise pour faire vivre à tout le monde des moments qui ne s’oublient pas. Le vendredi soir, on était toutes et tous réunis au salon pour écouter notre président présenter avec fierté les projets à venir. À travers ces paroles tantôt drôles, tantôt touchantes, il s’est avancé vers nous pour nous dévoiler un à un les totems Republik spécialement créés pour nous par Machine.

Pourquoi des totems?

Pour Vincent, les totems jouent un rôle très important au sein notre culture.

« Nos devises sont vraiment importantes pour nous. Si on les affiche sur nos différentes plateformes, on se devait aussi de les mettre bien en valeur au bureau. Mais par-dessus tout, ils servent principalement à récompenser nos employés et à renforcer l’esprit d’équipe. »

Souligner l’excellence du travail de nos collègues, ça se fait au quotidien près de la machine à café ou entre deux rencontres clients. Avec les totems, on s’assure de récompenser les bons coups avec quelque chose d’un peu plus collaboratif qu’un sourire ou une tape dans le dos. D’autant plus que toute l’équipe vote pour les quatre personnes qu’elle souhaite récompenser.

Le principe est simple. Chaque totem est une représentation physique de l’une de nos quatre devises. En tout temps, les employés de l’agence peuvent soumettre la candidature de l’un de leurs collègues qui a incarné l’une des devises dans une situation précise. Une fois par trimestre, un comité de sélection se rencontre pour faire le tour des candidatures reçues pour ensuite dévoiler les finalistes pour chacune des catégories. Les membres de l’équipe ont alors quelques jours pour voter pour la personne qui, selon eux, a le plus incarné une devise dans les derniers mois. Lors d’une rencontre d’équipe, les quatre gagnantes et gagnants sont dévoilés. Pendant le trimestre suivant, le bureau de chacune de ces quatre personnes est décoré du totem qu’elle a remporté.

Le 20 décembre dernier, alors que nous étions tous réunis dans le bistro pour le Gala de Noël, les quatre premiers totems ont été remis. Voici les gagnants.

Tyran Trieu, designer graphique/motion designer, lauréat du totem « On ose rêver »

Comme designer graphique, Tyran est parfois appelé à travailler sur des projets qui lui demandent beaucoup de temps dans une salle loin de ses collègues. C’est ce qui s’est passé l’automne dernier, alors qu’il a passé des heures, voire, des semaines, dans une salle à part pour pouvoir développer un univers graphique pour l’un de nos clients. Même si tout le monde ne savait pas ce sur quoi il travaillait, ceux qui le savaient n’ont pas hésité à soumettre sa candidature.

Alors qu’il se levait, quelque peu stupéfait, mais pas moins heureux, pour aller chercher son prix le 20 décembre dernier, les animateurs de la soirée lisaient quelques phrases pour l’annoncer:

« Il a vraiment eu une idée forte et a osé la pousser à sa limite, comme si tout était possible. Et bien dans ce cas, ce l'était. »

Pour toi Tyran, c’est quoi, oser rêver?

« C’est facile de dire que c’est de penser outside the box, mais pour moi, oser rêver, c’est pas juste avoir l’idée, c’est avoir le courage de la dire. Pis souvent c’est un risque, un gamble. Mais ça ne veut pas dire qu’on ne peut pas prendre le temps de bien le calculer. »

Justine Laurier, gestionnaire de campagnes numériques, lauréate du totem « on reste curieux »

Pas une seule journée ne passe sans que Justine, notre gestionnaire de campagnes numériques, prenne le temps de partager une nouvelle, un article ou un trend report à ses collègues. En rencontre d’équipe, lorsqu’on se pose une question, il n’est pas rare que Justine se fasse un devoir d’aller trouver la réponse et de la renvoyer aux principaux intéressés peu de temps après. C’est aussi vrai quand on parle de médias sociaux que de bière, de weekend en plein air ou de services de cuisine. Et quand on sollicite son expertise, elle nous en donne toujours plus...même quand on lui spécifie de ne pas le faire.

Pour toi Justine, c’est quoi, être curieuse?

« C’est ne jamais s’arrêter à un “je ne sais pas” et ne jamais se dire qu’un sujet est moins intéressant, parce que tout peut être intéressant. C’est être humble, parce que pour être curieux, on ne peut penser qu’on connaît tout d’un sujet. La vérité, c’est qu’il y a toujours des choses qu’on ne connaît pas et des points de vue différents des nôtres qui méritent notre attention. »

Manny Fortin, concepteur, photographe et lauréat du totem « On est engagés »

Sur papier, Manny est concepteur et photographe. Deux domaines dans lesquels il excelle. Mais au-delà de ces deux titres pour lesquels on le connaît, on s’amuse à dire qu’il est notre homme à tout faire du bureau, parce qu’il est aussi bon pour préparer le setup du bistro quand on accueille un événement particulier que pour s’assurer que les quatre nouveaux employés ne manquent de rien...absolument rien. Comme la fois où il a complètement revu le processus d’onboarding. Ce qu’on pouvait lire sur sa nomination:

« Le fait de voir une personne s'accomplir ainsi à travers un projet fédérateur pour Republik en se donnant un objectif clair sur un livrable et d'être en mesure de l'accomplir en surpassant les attentes est vraiment inspirant pour l'ensemble de l'équipe. »

Pour toi Manny, c’est quoi, être engagé?

« C’est avoir à coeur les intérêts des gens qui nous entourent et parfois les placer avant nos propres intérêts. C’est penser au “nous” avant de penser au “je”. Parce que tout ce qu’on veut faire comme équipe, comme agence et comme humain serait impossible à réaliser seul. »

Marie-Hélène Leclerc, chargée de compte, lauréate du totem « On parle vrai »

Toutes celles et ceux qui ont côtoyé Marie-Hélène s’entendent sur une chose: elle n’a pas peur de dire les vraies choses, même quand elles ne sont pas faciles à dire. Au bureau comme à l’extérieur, elle n’hésite pas à adresser les problèmes lorsqu’il y en a, mais elle est également la première à féliciter les gens qui l’entourent quand c’est le temps de le faire. Entre deux séances de spinning, dans une réunion qui rassemble toute l’agence, dans un appel client ou dans un one on one, elle s’assure de demeurer vraie et aborde chacun de ces rendez-vous de la même façon: avec le désir d’adresser les bonnes choses au bon moment.

Pour toi Marie-Hélène, c’est quoi, parler vrai?

« Je pense qu’il ne faut pas être gêné de partager ses opinions. Mais quand on dit quelque chose, ça ouvre une discussion où tout le monde est invité à participer. Au final, ça nous permet d’apprendre des autres, et ça nous amène à évoluer en se posant des questions ensemble. Pis pour moi, ça veut pas dire parler plus fort que l’autre. Ça veut juste dire prendre parole quand c’est le temps de le faire. »

Pour en savoir plus sur nos devises, c’est par ici.

À propos de

En tant que rédactrice en chef, contenu de marque, Catherine s’assure que tout le monde puisse se reconnaître dans les propos présentés.